LesĂ©nateur Jean-Marie Bockel, prĂ©sident du mouvement de la Gauche Moderne, a prĂ©conisĂ© vendredi le dĂ©veloppement des "prisons ouvertes" pour permettre un meilleur taux d'exĂ©cution des Ouvrezdes Prisons, Vous fermerez des Ecoles ! 6 Janvier 2015 RĂ©digĂ© par Bruno des Baumettes et publiĂ© depuis Overblog Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons Chaos ContrĂŽlĂ© (02/07/13) : Victor Hugo a dit: "Ouvrir une Ă©cole, c'est fermer une prison" , aux Etats-Unis on fait le contraire ! Des hommes, des prisons et des camps (14/08/12) : « Ouvrir une Ă©cole, c’est fermer Lesprofs d'Hollande sont moins chers que les prisons de Sarkozy. - Topic "Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des du 16-11-2011 19:56:56 sur les forums de jeuxvideo.com LAssociation pour la formation des activitĂ©s du spectacle (Afdas) existe depuis 1972, mais il a fallu attendre 2013 pour que la loi dote les artistes plasticiens d’un droit Ă  la formation. À condition de cotiser Ă  l’Agessa ou Ă  la Maison des artistes (qui reversent Ă  l’Afdas les collectes), les artistes-auteurs peuvent aujourd’hui choisir parmi un catalogue de formations, Desassociations de dĂ©fense des droits des femmes en Afghanistan veulent organiser des manifestations si les talibans ne rouvrent pas la semaine prochaine les Ă©coles secondaires pour filles Vay Tiền Nhanh Ggads. Le cyclone Batsirai se rapproche de La RĂ©union qui est en alerte orange, mercredi 2 fĂ©vrier, depuis 6 heures. Fermetures des Ă©coles, crĂšches, UniversitĂ©, de l'aĂ©roport Ă  15h, et de la route du littoral cet aprĂšs-midi, arrĂȘt des rĂ©seaux de bus le point ici. Le cyclone Batsirai se rapproche de La RĂ©union d'heure en heure. L'Ăźle est en alerte orange, du plan Orsec Cyclones, mercredi, depuis 6 heures. Fermetures des Ă©coles, crĂšches, UniversitĂ©, fermeture de la route du littoral, de l'aĂ©roport, de jardin, arrĂȘt des rĂ©seaux de bus le point Ă  venir de la Route du littoralLa Route du Littoral pourrait fermer dans le courant de l’aprĂšs-midi de ce mercredi 2 fĂ©vrier prĂ©vient la direction des routes. La fermeture sera effective jusqu’à l’amĂ©lioration des conditions mĂ©tĂ©orologiques, annoncĂ©e pour vendredi soir ou samedi matin. La route est concernĂ©e par la vigilance vague-submersion en vigueur du Sud au Nord de l’üle, en passant par l’Est. Pour suivre les conditions de circulation, retrouvez notre article en cliquant ici. Fermeture de l'aĂ©roportLes opĂ©rations aĂ©riennes sont suspendues Ă  l'aĂ©roport Roland Garros qui a fermĂ© Ă  15h ce mercredi 2 fĂ©vrier, et ce jusqu'Ă  nouvel ordre. Retrouvez notre article en cliquant ici. Le programme des vols du 2 fĂ©vrier avait Ă©tĂ© modifiĂ© et avancĂ©. Air France, Air Austral et Corsair Ă©taient des rĂ©seaux de busDĂšs 16 heures, l'ensemble des lignes des rĂ©seaux de bus Citalis, Estival, AlternĂ©o et Carsud seront Ă  l'arrĂȘt. Toutes les lignes du rĂ©seau urbain kar’ouest et kar’ouest Mouv’ vont s'arrĂȘter dĂšs 17h30, et les derniers dĂ©parts des Car Jaune se feront Ă  littoral de Saint-Paul interditLa Ville de Saint-Paul a pris un arrĂȘtĂ© municipal pour interdire jusqu’à nouvel ordre, ce mercredi 2 fĂ©vrier, la baignade, les activitĂ©s nautiques et la circulation piĂ©tonne sur l’ensemble du littoral au DĂ©barcadĂšre est aussi interdit depuis 12 heures. Toutes ces mesures de sĂ©curitĂ© s’appliqueront jusqu’à la fin de la menace cyclonique et jusqu’à la levĂ©e de la phase de sauvegarde dĂ©cidĂ©e par le PrĂ©fet de La et crĂšches fermĂ©s mercredi et jeudiLes Ă©tablissements scolaires, les crĂšches, les accueils pĂ©riscolaires et les accueils collectifs de mineurs n’accueillent pas d’enfants pendant au moins les journĂ©es de mercredi 2 et jeudi 3 fĂ©vrier. Retrouvez notre article en cliquant fermĂ©e jusqu'Ă  nouvel ordreL'UniversitĂ© de La RĂ©union est fermĂ©e ce mercredi et jusqu’à nouvel ordre, pour l'ensemble de ses sites et campus. Retrouvez notre article en cliquant du Jardin de l'EtatA Saint-Denis, le Jardin de l'Etat est fermĂ© Ă  partir de ce mercredi 2 fĂ©vrier. La rĂ©ouverture est prĂ©vue samedi 5 fĂ©vrier si les conditions le permettent et sous rĂ©serve d'une vĂ©rification prĂ©alable par les des musĂ©esLa CitĂ© du Volcan, le MusĂ©e Stella Matutina, KĂ©lonia et le MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs de l'OcĂ©an Indien MADOI sont fermĂ©s au public. La rĂ©ouverture des MusĂ©es RĂ©gionaux interviendra dĂšs que les conditions le des centres de vaccination et du centre de dĂ©pistage de la NordevLes sept centres de vaccination ferment leurs portes Ă  15h, prĂ©vient l'ARS. Ceux de la Nordev et du GHER ferment Ă  12h. La reprise de l'activitĂ© est prĂ©vue dĂšs vendredi 4 fĂ©vrier, en fonction de l'Ă©volution de la situation. Le centre de dĂ©pistage de la Nordev ferme Ă©galement Ă  15h ce centres d'hĂ©bergement ouvertsLes communes de l’üle ouvrent progressivement les centres d’hĂ©bergement d’urgence, pour les personnes dont le logement n’assurerait pas un niveau de sĂ©curitĂ© suffisant. Un numĂ©ro d'urgence est mis en place dans chacune d'entre elles, et des centres d'hĂ©bergement sont ouverts pour assurer la sĂ©curitĂ© de tous. Retrouvez tous les numĂ©ros et informations utiles dans notre article en cliquant ici. Pas un jour ne se passe sans que le vrai programme des terroristes ne soit exposĂ© au grand jour. Il ne s’agit pas de Foi, de Paix ou encore de LibertĂ©. Il s’agit de leurs valeurs fondamentales » le Pouvoir, le Profit et le Plaisir. Le Plaisir pervers que ces dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s trouvent dans les Ă©coles coraniques » oĂč l’on viole et enchaĂźne des jeunes garçons comme celle qui a Ă©tĂ© dĂ©couverte au NigĂ©ria il y a quelques jours, qui Ă©tait tenue par la version locale des bandits djihadistes. Le Profit que les narcotrafiquants gĂ©nĂšrent sous couvert de sociĂ©tĂ©s bidon comme Tilemsi, et tant pis si pour cela il faut maintenir le pays dans la guerre pour ne pas se faire attraper. Le Pouvoir, la volontĂ© de rĂ©gner sans partage sur des masses serviles, Ă  l’image d’Amadou Kouffa ou de Jaffar Dicko qui semblent n’avoir qu’un seul objectif militaire dans leur lutte pour la Justice » brĂ»ler des Ă©coles. Car, si l’on s’y penche sĂ©rieusement, quand on est terroriste les ressources sont limitĂ©es. Il faut se cacher des forces de sĂ©curitĂ©, chaque action diminue les rĂ©serves et il faut donc bien choisir ses objectifs
 On imaginerait bien que ces gens-lĂ  se concentrent sur des objectifs militaires ou, quand bien mĂȘme, cherchent Ă  voler des ressources pour survivre. Mais non, leurs actions nĂ©fastes sont consacrĂ©es
 Ă  brĂ»ler nos Ă©coles ! Pourquoi faire ce choix stratĂ©gique », pourquoi opter pour cette prioritĂ© ? Un dicton bien connu l’explique le savoir, c’est le pouvoir ». Et le Pouvoir, c’est la vraie passion des chefs de bandes terroristes. Pour exercer ce pouvoir sur le peuple, il faut que l’on raconte des mensonges pour convaincre les jeunes de venir se battre pour une cause perdue, il faut que les jeunes en question n’aient jamais les outils intellectuels pour refuser. Et si l’école a brĂ»lĂ©, le terroriste sait alors que les gĂ©nĂ©rations Ă  venir resteront dans l’ignorance. Le Malien malin, c’est le vrai ennemi du terroriste. C’est la raison pour laquelle les Ă©coles sont l’ennemi numĂ©ro 1 des terroristes et aussi parce qu’un instituteur ça fait moins peur qu’une compagnie de para-commando
. Pour garder leur base de recrutement et promouvoir leurs idĂ©es d’un autre temps ou d’un autre pays, ils sacrifient sans remords l’avenir de nos gĂ©nĂ©rations futures. Pensez-vous que le capitaine de police Mohamed Haidara, qui vient de faire les gros titres pour avoir Ă©tĂ© le seul de sa gĂ©nĂ©ration Ă  rĂ©ussir un concours international trĂšs difficile est allĂ© Ă  l’école du djihad ? Non. Il a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une Ă©ducation malienne fondĂ©e sur la raison et le savoir, qui lui a donnĂ© les outils intellectuels de la rĂ©ussite. Voyez-vous la diffĂ©rence ? D’un cĂŽtĂ© un Mali qui se construit et des gĂ©nĂ©rations d’entrepreneurs qui montent des start-up prometteuses comme YeelenCoura, qui veut rendre la vue aux aveugles avec des robots ; d’artistes, qui inspirent les Ăąmes au-delĂ  des frontiĂšres, comme Aya Nakamura ; de scientifiques de pointe, comme le Dr Hamidou TembinĂ©, rĂ©compensĂ© pour son travail Ă  la tĂȘte d’un laboratoire Ă  New-York, mais qui a commencĂ© sa scolaritĂ© en pays Dogon, lĂ  oĂč les pyromanes djihadistes sĂ©vissent dans nos Ă©coles De l’autre cĂŽtĂ©, des terroristes prĂȘts Ă  sacrifier le futur de nos jeunes en les laissant dans l’ignorance au nom des vraies valeurs du terrorisme Profit, Pouvoir, Plaisir. Terroriste n’est pas un mĂ©tier d’avenir, on ne le dira jamais assez. Certains se prĂ©parent Ă  vivre, d’autres Ă  mourir. Certains rĂȘvent de Wakanda, d’autres campent en brousse en attendant la bombe de Barkhane ou la balle des FAMAs. Ne justifions pas les actions des terros en leur trouvant des excuses les brĂ»leurs d’écoles n’en ont aucune ! Rejetons en masse l’ignorance qui mĂšne Ă  la dĂ©chĂ©ance et encourageons nos familles et nos communautĂ©s Ă  faire de mĂȘme ! Boubacar Samba LĂ©gende Le pays africain imaginaire de Wakanda vient d’inspirer le nom d’un grand projet au Rwanda Commentaires via Facebook Skip to content Blog Formations Stages PrĂ©sentation Blog Formations Stages PrĂ©sentation ï»ż Citation alĂ©atoire Gandhi ï»ż Recevoir toutes les citations Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons. Navigation En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour vous proposer une meilleure expĂ©rience sur le site mais vous pouvez les choisir. ParamĂ©trage des cookiesACCEPTER Le bout de langue qui dĂ©passe entre les lĂšvres, le mĂŽme est concentrĂ©. A quatre pattes, il observe une mante religieuse en train de se dĂ©placer sur une tige de verveine. Une mante religieuse dans une Ă©cole publique, gratuite, laĂŻque et obligatoire
 Incongruité  Un Ă©norme bruit, une partie du prĂ©au a disparu. Nous ne sommes pas dans un pays en guerre. Il y a bien les avions de chasse qui volent en rase-mottes mais non, nous ne sommes pas en guerre
 Un Rafale qui passe, c’est une centaine de millions d’euros soit beaucoup de prĂ©aux, d’écoles qui vont avec ainsi que des armĂ©es d’enseignants, des tonnes de cahiers, de crayons et des montagnes de craies. Parce que l’école du dompteur de mante religieuse, elle a encore un tableau noir. Un tableau en plusieurs parties pour que chaque niveau s’y retrouve. Ecole de campagne Ă  classe unique. Nouveau bruit plein de craquements, le prĂ©au a totalement disparu
 Nous sommes en guerre Ă©conomique. Il faut savoir oĂč frapper. Et c’est plus simple de viser une petite Ă©cole tranquillement immobile qu’un Rafale qui passe. MĂȘme en rase-mottes
 Guerre Ă©conomique alors on sacrifie les petites Ă©coles de campagne pour faire des petites Ă©conomies de campagne. Sans Ă©cole, les jeunes couples dĂ©sertent l’espace rural, foncent vers les villes et le pays » se vide. Les Rafales ont alors le droit de voler en rase-mottes
 LĂ -bas, un peu plus loin, un groupe
 un groupuscule de mĂŽmes jouent Ă  un jeu carrĂ©ment surrĂ©aliste issu de leur imagination dĂ©bridĂ©e. Un ballon invisible passe de mains en mains avant d’atterrir sur le toit de la cabane. Une bonne raison pour escalader l’édifice en dĂ©pit de l’interdiction de l’instit. L’instit, il ne semble plus lĂ , presque transparent comme si un sort lui Ă©tait tombĂ© sur la tĂȘte. Une lettre, un courriel pour lui expliquer son prochain exil programmĂ©. Pas grave au regard des hordes d’ouvriers jetĂ©s hors des usines. Juste une vie qui
 au dĂ©tour d’une lettre, d’un courriel
 n’a plus le mĂȘme goĂ»t ni la mĂȘme saveur. Il manque un morceau de toit au bĂątiment condamnĂ©. Quand il est arrivĂ© dans cette Ă©cole perdue au bout de la route, en 1993, il y avait en France 36 401 Ă©coles primaires. Lui, il avait choisi une des 2 000 classes uniques, petites communautĂ©s de mĂŽmes de 5 Ă  10-11 ans. Le temps pour vivre et pour apprendre tranquillement sans le souci de passer » dans la classe d’en-dessus
 MĂŽme, l’instit avait usĂ© ses manches de blouse dans ce genre d’école. Souvenirs de ces gĂ©ants de fin d’étude » qui l’aidaient en l’appelant "le marmot". À cette Ă©poque, c’étaient 13 000 classes uniques en France. Quand il est sorti de l’Ecole Normale - en 1980 - elles Ă©taient encore 11 000. Plus que 8032 en 1989. Tout s’accĂ©lĂšre, plus que 2 000 en 1993 et ensuite
 1993, l’instit arrivait dans un village d’un coin de montagne se dĂ©sertifiant
 Laissant le ciel ouvert aux Rafales d’une centaine de millions d’euros soit beaucoup de prĂ©aux, d’écoles qui vont avec ainsi que des armĂ©es d’enseignants, des tonnes de cahiers, de crayons et des montagnes de craies. Par l’ouverture du toit, les livres trop longtemps retenus s’envolent comme dans une poĂ©sie Ă  la PrĂ©vert. L’enfant oublie la mante religieuse, suit des yeux le vol des mots. Rire ou pleurer ? Bizarrement, il aurait plutĂŽt envie de pleurer. Il manque un mur Ă  son Ă©cole. Dessus, il y avait un poster avec les Droits de l’enfant
 Il regarde du cĂŽtĂ© de son instit. Et nous, on va faire quoi ? » L’instit serre les poings
 On va regarder l’école disparaĂźtre en n’oubliant pas qui nous l’a volĂ©e. » J’ai pas envie de prendre un bus tous les jours. Tu sais bien que je vomis chaque fois qu’on va Ă  la piscine
 » LĂ -bas, dans son bureau, il y a un homme, une femme qui joue Ă  dĂ©tricoter les services publics d’éducation en zone rurale. Qu’un mĂŽme vomisse tous les jours en allant en exil dans une Ă©cole imposĂ©e, ce n’est pas son problĂšme. Que des bus circulent cinq jours par semaine malgrĂ© le gros coup d’esbroufe de la COP 21, ce n’est toujours pas son problĂšme. Que des enfants perdent plus d’une heure par jour, cinq jours par semaine, alors qu’ont Ă©tĂ© mis en place de nouveaux rythmes scolaires pour raccourcir les journĂ©es trop longues ; ce n’est toujours pas son problĂšme. Cet homme, cette femme n’est lĂ  que pour gĂ©rer sans Ă©tat d’ñme. L’Éducation Nationale oublie son rĂŽle de service public pour s’affirmer comme agent normalisateur au service de l’État. L’heure n’est plus Ă  la petite structure mais au regroupement synonyme de rendement Ă  dĂ©faut de qualitĂ©. DĂ©truire ce qui menace l’équilibre tranquille de l’Éducation Nationale. Parce que, dans les Ă©coles Ă  petite structure, le groupe mĂŽmes – adulte » peut dĂ©couvrir de nouvelles mĂ©thodes d’apprentissage basĂ©es sur la complicitĂ© et l’estime avec le temps pour. Les autres, on les laisse loin, lĂ -bas oĂč l’on entasse, dĂ©coupe en tranches d’ñge, en groupes pour normaliser. La concertation pour la gestion de l’ensemble pousse Ă  l’inaction. Le Pouvoir est tranquille. Craquement monstrueux, ne reste plus que le mur porteur du tableau noir. Tu crois qu’il sait ce qu’il fait, celui qui a dĂ©cidĂ© de fermer l’école ? » Bien sĂ»r qu’il le sait, le sombre tueur Ă  gages de l’Éducation Nationale. Tout gonflĂ© de son pouvoir dĂ©cisionnel, il oublie juste qu’il n’est qu’un pion au service du libĂ©ralisme. Les rapports humains s’effacent, ne reste plus que la rentabilitĂ©. LĂ -bas / Comment ça s’dit / Jeudi / Dans ce jardin / Je n’en sais rien / Enfin / Jeudi, lĂ -bas / Dans un trou / Entre les fleurs cassĂ©es / Dans un trou / Que s’est-il passĂ© / S’amuse tout seul / Tout seul / Un petit enfant marrant [
] » Jean-Loup Dabadie L’enfant et l’avion » L’école a disparu. Restera plus qu’à rejoindre la vallĂ©e, cinq jours par semaines. Plus de poste, plus de boulangerie, plus rien. Des volets fermĂ©s, dix mois sur douze. Le prĂ©sent est aux grandes surfaces, aux fermes-usines, aux Ă©coles-usines
 Les mĂŽmes
 ÉlevĂ©s en plein air » ? MĂȘme plus en rĂȘve. Le bout de langue qui dĂ©passe entre les lĂšvres, le mĂŽme est concentrĂ©. A quatre pattes, il observe une mante religieuse en train de se dĂ©placer sur une tige de verveine. Une mante religieuse dans une Ă©cole publique, gratuite, laĂŻque et obligatoire
 ah, oui !... Plus d’école. Nous sommes en guerre Ă©conomique. Il faut savoir oĂč frapper. Et c’est plus simple de viser une petite Ă©cole tranquillement immobile qu’un Rafale qui passe. MĂȘme en rase-mottes
 Guerre Ă©conomique alors on sacrifie les petites Ă©coles de campagne pour faire des petites Ă©conomies de campagne. Sans Ă©cole, les jeunes couples dĂ©sertent l’espace rural, foncent vers les villes et le pays » se vide. Les Rafales ont alors le droit de voler en rase-mottes
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] T’as vu l’avion c’est drĂŽle / OĂč est passĂ©e la maison / Il pleut, il pleut bergĂšre / Ils sont bien cachĂ©s mes frĂšres / La la laire / Je vais les chercher mes frĂšres / C’est drĂŽle T’as vu l’avion? [
] » id Un rafale passe en rase-mottes. Si bas que le pilote a dĂ» voir le doigt d’honneur du mĂŽme. xXLunaxX Bonjour-Je crois que cette phrase fait raison aux enfants qui ne vont pas Ă  lÂŽĂ©cole. Cette phrase veut en fait dire si tout les enfants partent Ă  lÂŽĂ©cole il y aura moins de problĂ©mes cÂŽest Ă©crit, exactement, "vous fermerez des prisons".-Je trouve que cÂŽest une trĂšs belle phrase pour faire rĂ©flĂ©chir aux personnes, gens que il y a beaucoup dÂŽenfants qui ne vont pas Ă  lÂŽĂ©cole je ne sais plus combien de personnes....JÂŽespĂ©re tÂŽavoir aidĂ©/Ă©e!^^ 1 votes Thanks 0 xXLunaxX dr``

ouvrez des écoles vous fermerez des prisons